Qu’est-ce que toutes les Françaises ont en commun ? Qu’ils sont sans effort, maigres et chic ? Leur amour du vin, des cigarettes ou des petits chiens ? Peut-être. Voilà ce qui est sûr : Une chose que toutes les françaises partagent et on le dit avec beaucoup d’amertume, c’est le harcèlement sexuel. 100% des françaises disent avoir été harcelées sexuellement alors qu’elles utilisaient les transports en commun. Une étude récente du Conseil supérieur pour l’égalité entre les femmes et les hommes (HCEfh) le constate.
Le harcèlement en lieu public est l’un des plus répandu. Les victimes il y en a tous les jours, que ce soit en France ou dans d’autres pays. Mais limitons nous uniquement à cette problématique que dénoncent les françaises, et dont il a fallu une intervention du gouvernement. Cette intervention est celle de la mise en place de mesures visant à réprimer et même condamner les personnes qui sont prises en flagrant délit de harcèlement ou accusées de ce fait, avec preuves à l’appui. https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement-sexuel/harcelement-de-rue-prescription-age-du-consentement-une-large-majorite-de-francais-favorable-aux-mesures-du-gouvernement-contre-les-violences-sexuelles_2666228.html.
Bien sûr, si vous faites partie des quelque 50 % de la population mondiale qui ont un chromosome Y, sans compter qu’une telle revendication impliquerait plus de 30 millions de femmes. Mais HCEfh n’est pas une ligue de féministes radicales : Il s’agit d’un groupe gouvernemental créé en 2013 par le président François Hollande pour évaluer l’égalité des sexes dans les politiques publiques, ainsi que pour mener des recherches et faire des recommandations au premier ministre. L’étude est le résultat d’entretiens approfondis avec 600 femmes de la région parisienne. Cette évaluation définit le harcèlement sexuel dans l’espace public comme » des manifestations de sexisme affectant le droit à la sécurité et limitant la liberté d’être et de mouvement des femmes dans l’espace public « . Cela comprend les appels de loups, le harcèlement criminel, les tâtonnements et les viols, et plus s’il y en a.